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Grazzia Giu compose, écrit et chante. Une sensibilité qui s'exprime autant dans ses textes que dans ses compositions.
La chanteuse tisse la toile d’une musique de peu de bruit mais de beaucoup de profondeur, parfaitement expressionniste. » Jazz News Christian Larrède
Album Pretend

"Ma musique est l’expression d’un parcours de vie, l’écho d’une aventurière romantique, en dehors du système, peut-être, étonnée chaque jour, oui. C’est un voyage dans les songes et les tourments d’un univers construit avec tant de passion."

 

Pochette front spotify.png

"Bright Darkness" , titre-oxymore de ce nouvel opus, fait-on l’imagine - allusion à la recherche d’une luminosité à travers la musique qui fut cruellement absente de la construction de sa signataire.
Après une étincelante première rencontre avec le directeur artistique -multi instrumentiste Daniel Yvinec , Grazzia Giu , qui s’était persuadée qu’elle avait gravé avec "Fragments ", son dernier opus , retrouve la nécessité de nous parler encore et reprend le chemin des studios. C’est cette fois sur un répertoire plus personnel encore , plus mature et plus ambitieux qu’elle va s’exprimer.

Des chansons profondes, libres, parfois étranges, qu’on pourrait placer quelque part entre Stephen Sondheim,
Tom Waits, Gershwin et Bacharach , portées par une expression à la fois brute, subtile, toujours sincère, et qui ne s’interdit aucune audace.
Le processus artistique, inhabituel, n’est pas étranger à la singularité de ce précieux opus. Pour mieux capter la sensibilité à fleur de peau de Grazzia, Yvinec a suggéré une première session acoustique en duo avec le
pianiste italien Nico Morelli, cueillant ainsi l’essentiel, le battement de cœur de l ‘album. A ce diamant brut, il fallait offrir un écrin. Naviguant des claviers à la batterie, des percussions à la contrebasse, le producteur a imaginé une sorte de mise en scène, créant merveilleux reliefs et étonnant paysages sonores.
Proposition artistique unique et intemporelle, Bright Darkness procède de la nécessité et exprime sans fard la vie et le monde.

NOUVEL ALBUM EN COURS 
BRIGHT DARKNESS 

Sous la direction artistique de Daniel Yvinec 
compositions et texte Grazzia Giu 
avec le pianiste Nico Morelli 
au Studio Durango à Paris 
Attachée de presse :
Juliette Poitrenaud - Nardis Agency 
Contact:   juliettepoitrenaud@gmail.com
+33(0)6 30 80 02 62

Date de sortie  le 8  novembre   2024  

























 

Retombées presse

 Dès « The genesis » que signe Grazzia Giu, nous sommes captivés par cette voix mystérieuse de secrète diva, presque minimaliste, qui n’est pas sans rappeler celles de Patricia Barber ou de Meredith d’Ambrosio. Ambiance nocturne, un jazz au feeling à fleur de peau, qui s’appuie sur un discret mais très beau tapis moiré de strates électroniques, qui font s’envoler le morceau vers les étoiles, comme plus tard les touchants « Par Dom Imonk  La Gaztte Bleu  

 

Bright Darkness : "Un album touchant, plein de sincérité et d'un charme indicible... le mystère Grazzia Giu" Jazz Magazine  4 étoiles 

 Grazzia Giu écrit la majorité des textes et l’on peut affirmer qu’outre sa voix, elle possède une plume souple et fine. Les reprises sont quant à elles traitées avec justesse. Un beau disque balsamique. Culture Jazz Yes Dorison

Avec ce nouvel album Grazzia Giu a encore réussi à nous toucher et à nous émouvoir en nous entrainant dans son univers singulier et poétique, magnifié ici par une superbe et très adaptée production artistique. Gerard Brunel Jazz Rhône Alpes  

Grazzia Giu aura  réussi en quelques albums à imposer son style  ParisMove   indispensable 

« Il ne faut pas 30 secondes à Grazzia Giu pour mettre son âme à nu et nous saisir à la gorge».Louis-Julien Nicolaou, Télérama (TTTT) :

 

Son album « FRAGMENTS », paru en mai 2022, nous avait séduit par son côté inclassable, habité, puissant, libre ... les étranges Ténèbres Lumineuses (autobiographiques ?) dans lesquelles elle nous convie ici nous conquièrent par l’authenticité du discours et du parcours.

Une véritable mise à nu Francis Capeau

Grazzia Giu revient avec un tout dernier album, Bright darkness , dans un répertoire plus personnel que jamais, en plusieurs langues.

Anne-Elisabeth Bozon-Verduraz - Dauphiné Libéré 

 

Alex Dutilh, France Musique / Open Jazz : «

Un coup de maître ».

Anne-Elisabeth Bozon-Verduraz, Le Dauphiné Libéré Isère : « Avec Grazzia Giu, les chansons aussi ont leur histoire».

 

Jazz-Rhone-Alpes.com, Gérard Brunel : « Grazzia n’a jamais été aussi libre, et n’est jamais allée
aussi loin dans l’expression de ses sentiments

 

Site Paris Move

A MUST / INDISPENSABLE

Site Jazznicknames 

 Ambiance nostalgique, mélancolique et une interprétation pleine de sobriété et de délicatesse pour un disque où rien n’est ostentatoire mais où tout sonne juste. Le charme et le côté classieux de ces dix titres conçus comme des pastilles musicales 

Jazz news   Bruno Guermonprez 

Dès la première écoute, on sait que la chanteuse et pianiste y a tutoyer une sorte de perfection . Tout d'abord parce que ses dix chansons consacrent une continuité esthétique dont la très belle reprise " Where are we now " de David Bowie est comme un emblème de sa manière d'interpréter, romantique ,palpitante, légèrement titubante 

Culture Jazz  Yves Dorison 

La voix de Grazzia Giu à elle seule justifie l’écoute, ce qui ne signifie pas que les musiciens soit en deçà du talent de la chanteuse car ils créent autour d’elle un univers à la mesure des chansons de l’album. Tissé autour d’une forme mélancolique qui fleure l’underground, les lieux aussi obscurs qu’éclatants d’une époque libertaire (qu’il nous semble l’avoir rêvée tant elle paraît aujourd’hui dépassée), ce disque dans son entièreté touche à la fibre la plus intime avec une délicatesse aiguë et insiste paisiblement les émotions les plus vives d’une humanité buissonnière et créatrice (qui nous manque). Quant à la reprise du « Where are we now » testamentaire de David Bowie, elle est un bon exemple de réinterprétation réussie. 30 minutes et 11 secondes de voyage hors du temps « en suivant la grande ourse. »

« ... En compagnie de Lionel Melot au piano (co-arrangeur, du batteur Andy Baron et de Dominique Di Piazza à la basse (deJohn McLaughlin àBirelli Lagrène), la chanteuse tisse la toile d’une musique de peu de bruit mais de beaucoup de profondeur, parfaitement expressionniste. »

Jazz News

 

« ... Ce disque de chansons plus pop que jazz se caractérise par sa sobriété : pas de fioritures inutiles, d’effets de son à la mode, juste quelques ambiances sonores pour colorer l’ensemble. Une voix à découvrir... si vous ne la connaissiez pas encore, comme nous ! » Culture Jazz

 

« ... sur des paroles d’une poétique mélancolie, Grazzia Giu a déposé une musique sobre et délicate qui se grave durablement dans notre mémoire. La douceur, la sensualité, la précision et la musicalité de son timbre sont en parfaite adéquation avec l’ambiance intimiste qui colore notre écoute... » Revue The Lion

 

« ... Ce nouvel album vient confirmer la belle trajectoire de cette artiste qui propose un album délicieux. «Pretend» trouve un équilibre parfait entre des mélodies qui n’ont aucun mal à vous envoûter, des arrangements subtils et descollaborations musicales qui portent ce nouvel album vers des notes appétissantes. » BSC News Magazine

« … Les amateurs de belles voix sont toujours heureux de retrouver la chanteuse Grazzia Giu entourée par Lionel Melot, l’immense Dominique Di Piazza et Andy Barron. Nous sommes charmés par sa sensibilité, ses textes parlent des choses de la vie. Goût assumé par cette ambiance pop jazz où vient s’associer l’excellente formation dont le point commun est de partager ces moments intimes, par la complicité et la finesse de leurs jeux. On peut dire que ce groupe a un style et la classe, le romantisme de Grazzia par sa voix nous touche tous au plus profond » Blog Jazz Club de Grenoble

« ... Grazzia Giu chante des mélodies bien construites de pop jazz au sens le plus élevé du terme, c’est-à-dire des airs de jazz qui resteront dans la tête des auditeurs. On peut déplorer qu’il n’y ait pas au moins une reprise, de standards américains ou de chansons françaises en français, mais l’ensemble présenté se suffit à lui-même, tant Grazzia Giu a le don de créer une couleur, un climat, bien à elle. » On Mag – Top Audio

 

« ….Voici une fleur ouverte au soleil d’Anvers, avec un nom très méditerranéen et des connexions familiales aux US. Grazzia Giu non seulement chante, mais écrit et compose. Chansons très riches donc, autant dans les mélodies construites au cordeau de l’efficacité que dans les arrangements aériens qu’elle ponctue de sa voix a la fois chaude et profonde, douce, légère, calme et parfois angoissée » JTS Presse

 

« ... Les mélodies restent dans la tête, le climat musical est plaisant, on pense à la fois à Patricia Barber, Elvis Costello ou Joni Mitchell, on devine les influences multiples des Beatles mais aussi de Paul Anka, Dean Martin et bien sûr du grand maître Sinatra. On est charmé par l’émotion et la sensibilité qui transparaissent au fil de ces jolis morceaux » JTS Presse

 

« ... Le titre Pretend qui donne son nom à l’album est un chef d’œuvre d’équilibre et de précision tant par son écriture que par sa production léchée, indiscutablement un temps fort ... Un album plein de subtilités qui hésite entre pop et jazz ce qui en fait finalement tout le charme » Jazz Rhône Alpes

retrouvez tous les articles de presse ici :

07 La chanson des vieux amantsGrazzia Giu et Daniel Yvinec
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